Le problème apparait lorsque ce que nous faisons n’est pas au service de ce qui est le plus important dans notre vie. – Stephen Covey
Réfléchir au SENS de SA VIE
S’interroger sur le sens et la direction que l’on donne à sa vie permet de lâcher prise plus facilement sur les éléments qui nous paraissent, après coup, secondaires.
Négliger cette question, c’est prendre le risque de s’épuiser à poursuivre des objectifs futiles pour s’apercevoir, parfois plus tard, que l’on ne fait rien de bien important !!!!
Ne pas avoir peur de L’INTROSPECTION
En effet, se poser des questions sur le sens de sa vie nécessite de se poser lors d’un moment calme et de se servie de ce moment à bon escient.
Mais encore faut il ne pas avoir peur de regarder au fond de soi….
Qui sait, en effet, ce que l’on va y trouver ?
Il est parfois plus facile de foncer tête baissée sans se préoccuper de qui l’on est vraiment !
Se fixer des objectifs RÉALISTES
Quand on sait ce que l’on veut réellement, il est bien plus facile de laisser tomber sans trop de regrets ce qui ne correspond pas à cet objectif.
Mais attention à ne pas tomber dans deux pièges fréquents.
Premièrement, les objectifs qui ne sont pas vraiment les nôtres.
Et deuxièmement, les objectifs tellement ambitieux qu’ils en deviennent irréalisables !
TROP. Trop de tout. Trop de possibilités. Trop de sollicitations. Trop de choses à faire. Trop de choix dans les rayons. Trop de choses dans nos maisons. Trop d’informations à lire. Le trop est partout. Il envahit tout, nos espaces, de vie, de travail, notre agenda, nos ordinateurs, nos messageries. Il encombre nos vies, il sature notre cerveau, il nous écrase.
Et si, finalement, la modération était la clé d’un rapport au temps pacifié et de notre équilibre ?
Et si, plutôt que de chercher comment faire pour accomplir toujours plus dans un temps forcément limité, nous choisissions délibérément de restreindre nos envies et de revenir à des ambitions plus réalistes ?
Notre vraie liberté ne pourrait-elle pas résider dans notre capacité à limiter notre appétit toujours plus grand ? Ce même appétit qui nous pousse parfois, de manière frénétique et incontrôlée, à vouloir toujours plus, à vivre toujours plus d’expériences, à viser toujours plus haut, à travailler encore plus fort pour pouvoir nous offrir encore plus de possessions matérielles, lesquels finissent invariablement par nous encombrer et pour lesquelles nous dépensons, en bout de course, beaucoup de temps et d’énergie lorsque l’envie nous prend de désencombrer et d’alléger notre vie… La boucle est bouclée !
Assez, c’est combien pour vous ?
Suis-je en capacité de me satisfaire, aujourd’hui, de ce que j’ai déjà ?
Est-ce que je prends le temps, lorsque j’ai atteint un objectif, ou un simple palier, de savourer le chemin parcouru avant de jeter toutes mes forces dans un autre graal à atteindre ?
Une invitation à faire la paix avec soi
La modération nous apprend à reconnaitre nos propres limites et à détecter que ce énième projet sera probablement le projet de trop, celui que nous aurons du mal à honorer et qui nous éloignera définitivement de notre équilibre.
A tout moment nous pouvons apprendre de nouvelles choses et de nouveaux comportements.
apprendre à nous affirmer et à développer notre confiance en nous
apprendre à communiquer de manière efficace
apprendre à aller de l’avant dans notre vie
apprendre à nous créer de bonnes relations professionnelles, amicales et affectives
apprendre à nous débarrasser d’un problème ou d’une situation désagréable qui se répète
N’attendez pas que les choses se passent, que les autres et les événements décident pour vous.
VOS CAPACITÉS PEUVENT SE DÉVELOPPER
VOUS disposez de TOUTES les ressources pour relever les défis de votre vie
que devez-vous faire pour réaliser ce que VOUS VOULEZ vivre ?
comment utiliser VOS ressources ?
quels blocages vous empêchent de vivre ce que VOUS VOULEZ vivre ?
quels nouveaux apprentissages devez-vous acquérir pour aller de l’avant dans VOTRE
vie ?
Ce sont les réponses à ces questions que l’on cherche ensemble lors des séances selon votre situation et vos objectifs personnels.
UN ACCOMPAGNEMENT EN ACCORD AVEC VOTRE ÊTRE INTÉRIEUR
dans la résolution de la situation dont vous ne voulez pas ou ne plus ÊTRE
dans la redécouverte et la confiance en VOS capacités personnelles
Mais au fond, que cela signifie-t-il pour vous ?
Comment vous y prenez-vous pour atteindre votre objectif ?
Il est important de se poser ces questions pour prendre conscience de sa propre définition de la réussite.
Une fois encore, nous sommes emprunts de schémas qui ne nous appartiennent pas .
* Que signifiait réussir dans votre famille ?
* Quelles sont les personnes qu’on vous a présentées comme modèles de réussite dans votre enfance ?
* Avez-vous choisi le métier qui est le vôtre pour répondre à des attentes extérieures ? Lesquelles ? Celles de qui ?
* A votre avis, vos parents pensent-ils avoir réussi leur vie ? Pourquoi ?
* Êtes-vous d’accord ? Pourquoi ?
Dans l’idéal, le travail que vous avez choisi vous plait.
Vous vous sentez compétent, utile et reconnu.
Mais la réalité est parfois bien différente.
D’abord, parce que vous n’avez pas toujours choisi le métier que vous exercez.
Ensuite, parce que, même dans ce cas, vous pouvez ressentir une inadéquation entre ce que vous faites et ce que vous voudriez réellement faire.
Et parfois, ce que vous faites au quotidien n’a rien à voir avec l’idée que vous vous faisiez de ce métier !Il est possible cependant d’envisager un emploi qui vous conviendrait mieux.Si vous pouviez être payé pour faire ce qui vous plait le plus, que feriez vous ?
N’hésitez pas à rêver …
Toute action voit son origine dans une pensée qu’on a laissé germer, puis grandir.
Y a-t-il un métier qui correspond à cela ?
Sinon, pouvez-vous le créer ? Renseignez-vous !
Pour nourrir cette idée, agissez pendant les semaines qui viennent comme si vous vous réalisiez dans ce métier.
Par exemple, si vous avez écrit « photographe » allez prendre des photos etc …..
Le neurofeedback fait de plus en plus d’adeptes dans l’Hexagone.
Mais la technique, basée sur une mesure de l’activité bioélectrique du cerveau et une intervention consciente ou non du sujet pour correction en cas de trouble, n’est pas vraiment nouvelle.
Élaborée à partir des années 1960-1970 aux États-Unis, elle s’appuie sur les recherches des neurologues Joseph Kamiya et Neal Miller, lesquels mettent en lumière l’influence de la volonté sur le corps.
Leurs expérimentations montrent la capacité de contrôle d’un sujet sur l’émission de certaines de ses ondes cérébrales (type alpha), et également sur des comportements physiologiques, comme le débit du flux sanguin.
Suite à ces découvertes, des protocoles de neurofeedback se développent, basés sur la capacité d’autocontrôle du sujet sur l’activité bioélectrique de son cerveau dans un but thérapeutique.
Cette dernière est ainsi mesurée au moyen d’un électroencéphalogramme (EEG). Un feedback (une information retour) est envoyé en cas de « signal atypique » détecté, avec pour objectif la régulation des fonctions cérébrales par le sujet lui-même.
Les études se multiplient, prouvant l’impact positif du neurofeedback sur la diminution de la fréquence des crises d’épilepsie, sur le TDAH (Trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité) ou sur des vétérans du Vietnam.
Connecter les neurones
Ce type de neurofeedback, dit de première génération, est basé sur un entraînement du patient sur son activité cérébrale, qu’il tente de réguler volontairement par la force de la pensée, et a pour cible un trouble en particulier, déterminé à l’avance. C’est l’approche privilégiée par certains psychologues (voir ci-dessous). Celle-ci se distingue nettement d’une autre approche, appelée dynamique, développée il y a dix ans en France et utilisée par la majorité des praticiens, soit une centaine dans le pays. Reposant sur le système informatisé NeurOptimal, elle permet au patient de n’avoir aucune action consciente à effectuer, le cerveau se régulant tout seul.
Installé dans un fauteuil, le patient écoute de la musique. Deux électrodes placées sur le haut du crâne enregistrent son activité neuronale, de manière indolore. Lorsqu’un pic d’activité neuronale est détecté, une micro-interruption du son intervient, inaudible pour la personne, mais perceptible par le cerveau. Celui-ci, en réponse à ce feedback, se réorganise et s’autorégule. « Le but n’est pas d’agir sur un trouble en particulier. C’est le cerveau qui lui-même décide à quel niveau il veut intervenir », explique Anne Maury, épouse du chef d’orchestre Emmanuel Krivine, qui pratique le neurofeedback dynamique depuis sept ans. « La notion de plasticité neuronale est au cœur de l’efficacité de la technique. Les connexions entre les neurones peuvent, en fonction des événements, d’un traumatisme ou de mauvaises conditions s’abîmer, mais surtout se réparer », poursuit la praticienne. Elle reçoit adultes et enfants, pour des troubles comme les problèmes de sommeil, le stress, le manque de confiance, de concentration ou de créativité, les addictions mais aussi l’autisme et le handicap mental des enfants. « Les effets peuvent parfois se faire sentir dès la première séance, mais plusieurs séances rapprochées sont nécessaires pour consolider les acquis », précise-t-elle, insistant sur son approche originale « neuro-psycho musico thérapie ». Elle choisit en effet une musique spécifique en fonction de chaque patient, « adaptée à son état ».
Élaborée par deux Canadiens, Sue et Val Brown, à la tête du Zengar Institute, le système NeurOptimal s’appuie, selon ses concepteurs, sur un algorithme élaboré par Dennis Gabor, prix Nobel de physique en 1971 pour ses travaux sur l’holographie. « Ce système part du principe que le cerveau peut se transformer beaucoup plus rapidement en utilisant des circuits neuronaux inconscients », précise Anne Maury, qui indique que le neurofeedback montre une efficacité dans 95 % des cas, « et d’ailleurs pas forcément là où la personne l’attendait de prime abord ». Technique non invasive, – aucun courant via les électrodes n’est en effet envoyé au cerveau –, le système NeurOptimal ne comporte pas d’effets secondaires connus. Néanmoins, la pratique du neurofeedback dynamique étant libre, seulement conditionnée par l’acquisition d’une machine, les profils des praticiens sont très variables. En vue d’une séance, il est prudent de vérifier au préalable ses références et l’interroger minutieusement sur son approche.
Le Neurofeedback à l’hôpital
Deux hôpitaux proposent une prise en charge clinique de neurofeedback de première génération, c’est-à-dire basé sur l’apprentissage et l’entraînement conscient du cerveau. Leurs approches sont considérées comme expérimentales. À la Pitié-Salpêtrière, à Paris, Olivier Pallanca, psychiatre et neurophysiologiste, traite depuis 2011 les troubles du sommeil. À l’hôpital Sainte-Marguerite de Marseille, le pôle de psychiatrie prend en charge les personnes souffrant de TDAH (Trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité).
« La confiance en soi est le premier secret du succès »
Ralph Waldo Emerson
>>> APPRENEZ A DIRE NON
La gestion du stress est un problème pour les personnes qui ne savent pas dire non.
Car elles pensent qu’elles n’ont pas le choix, qu’elles doivent se montrer indispensables, ou encore qu’elles ne seront plus appréciées si elles refuent
de rendre service.
Elle se chargent donc de responsabilités qui ne sont pas les leurs, ce qui, évidement, engendre encore plus de stress.
Alors, rappelez-vous, que quand vous dites non aux autres, c’est à vous même que vous dîtes OUI !!!!
>>> ARRÊTEZ DE VOUS COMPARER AUX AUTRES
Nous gaspillons parfois beaucoup de temps et d’énergie à comparer notre situation à celle des autres.
Et à quoi cela nous sert-il ?
A nous rassurer ? A nous motiver ? Peut-être.
Mais une chose est sûre : nous serions sûrement plus heureux si nous prenions le temps de faire pousser l’herbe de notre jardin, au lieu de nous répéter
que celle du voisin est plus verte.
>>> CONFIANCE EN SOI ET CALME INTÉRIEUR
La confiance en soi est un jugement que nous portons sur nous même et qui conditionne nos actions, comme une prophétie autoréalisatrice.
Quand notre degré de confiance en nous est positif, notre esprit est disponible pour le calme.
Mais si nous en manquons, au contraire, nous risquons d’alimenter des voix intérieures de reproche qui nous perturberont.
>>> LE CERCLE VERTUEUX DE LA CONFIANCE
L’encouragement peut faire des miracles.
Ainsi, quand le pédagogue chez l’enfant se substitue à la « petite voix intérieure » qui peut être négative, pour au contraire l’encourager,
il le met déjà sur les rails de sa réussite, de son bonheur et de son calme intérieur.
Ensuite, chaque succès nourrit la confiance, et la confiance nourrit chaque succès.
>>> CULTIVER SON JARDIN
Il faut avoir conscience de ses forces et de ses faiblesses.
Nous pouvons nous consacrer à l’essentiel, « cultiver notre jardin », faire grandir de belles capacités plutôt que de revenir sur nos échecs.
Ceux-ci ne sont pas à nier, seulement à mettre de côté pour avancer et devenir meilleur.
C’est cela qui nous met sur la voie du calme intérieur.
« Chacun rêve de changer l’humanité, mais personne ne pense à se changer lui-même. »
– Léon Tolstoï
VIVEZ L’INSTANT PRÉSENT
Pour être pleinement dans la vie, efforcez-vous d’agir plutôt que de vous torturer l’esprit, cultivez vos relations avec les autres,
l’échange.
Le concret est toujours plus valorisant.
Par exemple, au lieu de vous demander interminablement si vous devez aborder cette personne qui vous plaît, AGISSEZ !!!!
Vous y gagnerez la satisfaction d’être allé au bout de votre envie.
A RETENIR
>>> L’illusion du changement
Parce que nous nourrissons notre moi d’opposition avec le monde, nous serons toujours tentés d’accuser notre environnement quand
le mal-être et le tourment se feront ressentir.
Il apparaît toujours plus facile de prendre des décisions radicales dans sa vie que d’entreprendre un travail sur nous-mêmes afin de changer
notre perception des choses.
>>> Le CHANGEMENT INTÉRIEUR est un LONG PARCOURS
Souvent, se changer soi-même est long, douloureux, et demande par définition d’apprendre qui on est réellement, en toute lucidité.
C’est un travail en décalage avec notre époque, qui demande des efforts, que nous n’avons pas toujours ni l’énergie, ni le temps,
ni même l’idée d’entreprendre, étant loin de penser que nous sommes responsables de notre mal-être.
>>> Couple : attention au rapport de force
Lorsque quelque chose va mal dans le couple, on envisage de faire changer notre partenaire, désigné souvent comme coupable idéal.
Mais si nous changeons nous-même, si nous travaillons sur nos propres sentiments, nous gagnerons plus certainement la paix, le calme,
voire le bonheur, qu’en luttant pour façonner notre couple selon notre seule idée.
« L’intelligence véritable agit dans le silence.
Le calme est l’espace de la créativité et des solutions »
– Eckhart Tolle
>>> Faire une VRAIE PAUSE – DÉJEUNER
Avaler un sandwich sans lever le nez de son écran d’ordinateur !!!
Si c’est malheureusement trop souvent ce à quoi ressemble le déjeuner, ARRÊTEZ !
En prenant une vraie pause-déjeuner, vous optimiser vos capacités intellectuelles pour l’après-midi et vous vous sentirez en bien meilleure forme,
sur le plan émotionnel et intellectuel.
La pause doit faire au moins 30 minutes pour être efficace.
Dés que vous le pouvez, prenez l’air et marchez pour évacuer les tensions et faire le plein d’énergie.
>>> ÉVITER l’AUTOCRITIQUE SYSTÉMATIQUE
Si vous êtes du genre à toujours vous faire un procès, il est grand temps de changer.
Rester zen et calme implique aussi que l’on se fasse confiance un minimum et que l’on s’aime…
Comment s’aimer si on passe son temps à se critiquer, à se remettre en question ?
Assumez vos décisions et faites preuve d’indulgence envers vous-même.
>>> COMPRENDRE nécessite de LA DISPONIBILITÉ
L’intelligence est la faculté à saisir les éléments nouveaux, à se les approprier et à les transformer le plus utilement possible.
Pour pouvoir faire ce que nous voulons de nos idées, il est indispensable d’avoir un espace intérieur pleinement disponible.
Ainsi, l’agencement de nos idées n’est ni influencé, ni empêché, par nos propres projections.
>>> LE CALME INTÉRIEUR, une GYMNASTIQUE pour l’ESPRIT
Faire le calme est nécessaire pour que l’intelligence puisse s’exercer correctement.
Mais ce n’est pas seulement un prérequis, c’est aussi une nécessité quotidienne, comme un entretien de son espace intérieur, de l’outil de travail.
Bien sûre, ce n’est pas indispensable mais cela permet de se mettre dans les meilleures dispositions possibles sans souffrance.
>>> L’INTELLIGENCE ÉMOTIONNELLE
C’est une capacité à identifier et à utiliser ses émotions et celles des autres.
C’est aussi les comprendre, notamment pour ce qui concerne les autres, par l’empathie, et pour soi-même, par la clairvoyance.
L’intelligence émotionnelle nécessite de pouvoir faire le vide en soi pour identifier ce que nous ressentons, et les émotions d’autrui sans préjugés.